Domination indéfectible.
Janvier 1985, Paris est à -18°c ! Un jeu érotique découvert une nuit glaciale parisienne, en compagnie de la belle "F..." menottée, est devenu au fil des ans une autre façon d'approcher les choses, les voir différemment.
Les jeux érotiques ont mille et une facettes, mais premier organe sexuel est... le cerveau.
Dominer, alchimie des sens, des sentiments et des désirs, il faut rentrer subtilement dans le subconscient.
Cette alchimie est différente de l’un à l’autre, puisque chaque complice a ses propres envies, ses fantasmes,
sa personnalité, son caractère, ses propres attirances.
Notions.
Dans l'univers D/s, oubliez les notions stupides du "machisme" et les mythes de la supériorité masculine !
"Le Maître" n'est jamais celui que l'on croit. Le Dom est en état de dépendance totale par rapport à sa soumise. Les jeux D/s, se façonnent avec du temps, la connaissance de soi, de l'écoute avec une large dose de sensibilité, de complicité et du respect, un sens de la responsabilité à toute épreuve, tout en imposant une honnêteté absolue pour aboutir à une confiance quasi aveugle. Ici votre propre plaisir sexuel passe après celui de votre partenaire. Ceux ou celles qui vous diront le contraire sont... incompatibles avec cet univers.
Bases.
Le temps m'a appris qu'une Domination infaillible est basée sur les quatre qualités/vertus suivantes:
• "Écouter" pour pouvoir saisir les mots ancrés dans l'obscurité de l'âme (et ses profondeurs),
• "Analyser" et ainsi comprendre ces mots extraits (pour réagir en conséquence et rassurer la soum),
• "Donner" plus que de recevoir dans la dimension mentale tant que physique (sensibilité innée),
• "Lire" les désirs, sensations et émotions, dans les yeux agités d'une femme (aptitude assez rare).
• Aboutissement: La lueur de jouissance qui traverse ses yeux agités, avides sous sa peau humide, corps tremblant en soupirs sous la cravache, et au même instant les vagues des contractions jusqu'aux orgasmes convoités... parfois fulgurants, puis l’apaisement, l’immobilité, la respiration qui retombe, ses yeux qui se ferment sous le sentiment de plénitude... avec le long silence qui suit... Fascinant non ?
Épilogue de Stendhal: "Les hommes ne se comprennent qu'à mesure qu'ils sont animés des mêmes passions"
merci de ta visite. ML